| French examination papers - 1863 - 282 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne" à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles semblables à deux bras, qui s'avancent dans la mer, . et qui embrassent... | |
| Charles Louandre - 1863 - 294 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands mêles semblables à deux bras qui s'avancent dans la mer, et qui embrassent un... | |
| Alfred Charles Clapin - 1866 - 198 pages
...croit d'abord3 que ce n'est point une ville qui appartienne à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles* semblables à deux bras, qui s'avancent dans la mer, et qui embrassent un... | |
| François de Salignac de la Mothe Fénelon (abp. of Cambrai.) - 1869 - 530 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles, semblables à deux bras, qui s'avancent dans la mer, et qui embrassent un... | |
| François Quesnel - 1869 - 360 pages
...croit d'abord que ce n'est point nne ville qui appartienne à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples et le centre de leur commerce . . . dans ce port on coit comme une forêt de mâts de navires, et ces navires sont si nombreux* qu'à... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1869 - 408 pages
...d'abord™ que ce n'est point une ville qui appartienne28 à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles21 seinbla1 porte, produces. — 2 se touchent presque, almostjoin. — 3... | |
| Edward Hicks Magill - 1870 - 472 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles semblables à deux bras qui s'avancent dans la mer, et qui embrassent un... | |
| Edward Hicks Magill - 1870 - 464 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne - à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles semblables à deux bras qui s'avancent dans la mer, et qui embrassent un... | |
| Louis Pujol - 1873 - 574 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartient à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles semblables à deux bras qui s'avancent dans la mer, et qui embrassent un... | |
| Achille Albitès - 1873 - 276 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne8 à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles semblables à de.ux bras, qui s'avancent dans la mer et qui embrassent un... | |
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