Biton le plus grand bonheur que pût obtenir un mortel. Cette prière finie, après le sacrifice et le festin ordinaire dans ces sortes de fêtes, les deux jeunes gens, s'étant endormis dans le temple même, ne se réveillèrent plus, et terminèrent... Bibliothèque Latine-Française - Page 418 1833 Affichage du livre entier -
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