Les marchands y abordent de toutes les parties du monde, et ses habitants sont eux-mêmes les plus fameux marchands qu'il y ait dans l'univers. Quand on entre dans cette ville, on croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne à un peuple... Œuvres complètes de Rollin - Page 90de Charles Rollin - 1821Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| JOHN ROMEYN BRODHEAD - 1853 - 838 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne d un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce." — Telemaque, liv. iii. MARITIME ENTERPRISE OF THE DUTCH. 21 portion, and thus supplied itself with... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1854 - 438 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles, semblables à deux bras, qui s'avancent dans la mer, et qui embrassent un... | |
| Charles Jean Delille - 1855 - 612 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles, semblables à deux bras, qui s'avancent dans la mer, et qui embrassent un... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1859 - 414 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles, semblables à deux bras , qui s'avancent dans la mer, et qui embrassent... | |
| Fernand Lagarrigue - 1860 - 394 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles semblables à deux bras qui s'avancent dans la mer et qui embrassent un vaste... | |
| Léon Contanseau - 1862 - 572 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartient à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles semblables à deux bras qui s'avancent dans la mer, et qui embrassent un... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1862 - 408 pages
...d'abord2* que ce n'est point une ville qui appartienne30 à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles81 sembla1 porte, produces. — 2se touchent presque, almosljoin. — Smettent... | |
| French examination papers - 1863 - 282 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne" à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles semblables à deux bras, qui s'avancent dans la mer, . et qui embrassent... | |
| Charles Louandre - 1863 - 294 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands mêles semblables à deux bras qui s'avancent dans la mer, et qui embrassent un... | |
| Alfred Charles Clapin - 1866 - 198 pages
...croit d'abord3 que ce n'est point une ville qui appartienne à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles* semblables à deux bras, qui s'avancent dans la mer, et qui embrassent un... | |
| |