| Eugène Geruzez - 1853 - 478 pages
...de tous les plaisirs ; souvent farouche, naturellement porté à la cruauté, barbare en raillerie, et à produire les ridicules avec une justesse qui...atomes avec qui il n'avait aucune ressemblance, quels qu'il fussent. » Tel était le caractère qu'il fallait dompter et assouplir : la tâche était rude,... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1853 - 810 pages
...railleries et à produire les ridi« cules avec une justesse qui assommait. De la hauteur « des cieux, il ne regardait les hommes que comme « des atomes...aucune ressemblance « quels qu'ils fussent. A peine MM. ses frères lui pa« raissaient-ils intermédiaires entre lui et le genre « humain , quoiqu'on... | |
| 1853 - 324 pages
...en raillerie, saisissant le ridicule « avec une justesse qui écrasait. De la hauteur des « cieux il ne regardait les hommes que comme des « atomes,...n'avait aucune ressemblance, quels « qu'ils fussent. L'esprit, la pénétration brillaient en « lui de toute part, jusque dans ses violences; ses re«... | |
| Eugène Geruzez - 1853 - 476 pages
...en raillerie, et à produire les ridicules avec une justesse qui assommait. De la hauteur des cieux il ne regardait les hommes que comme des atomes avec qui il n'avait aucune ressemblance, quels qu'il fussent. » Tel était le caractère qu'il fallait dompter et assouplir : la tâche était rude,... | |
| 1855 - 494 pages
...en railleries et à produire les ridicules avec une justesse qui assommait. De la hauteur des cieux, il ne regardait les hommes que comme des atomes avec...n'avait aucune ressemblance, quels qu'ils fussent... L'esprit, la pénétration brillaient en lui de toutes parts. Jusque dans ses furies, ses réponses... | |
| 1855 - 524 pages
...railleries, et à produire les ridicules avec une justesse qui assommait. De la hauteur des cieux, il ne regardait les hommes que comme des atomes avec...n'avait aucune ressemblance , quels qu'ils fussent. Л peine messieurs ses frères lui paraissaient-ils intermédiaires entre lui et le genre humain, quoiqu'on... | |
| Alphonse de Lamartine - 1856 - 446 pages
...en raillerie, saisissant le ridicule avec » une justesse qui écrasait. De la hauteur des » cieux il ne regardait les hommes que comme des » atomes,...n'avait aucune ressemblance, » quels qu'ils fussent. L'esprit, la pénétration » brillaient en lui de toute part, jusque dans ses » violences; ses reparties... | |
| Alphonse de Lamartine - 1856 - 486 pages
...en raillerie, saisissant le ridicule avoc » une justesse qui écrasait. De la hauteur des » cieux il ne regardait les hommes que comme des » atomes,...n'avait aucune ressemblance, » quels qu'ils fussent. L'esprit, la pénétration » brillaient en lui de toute part, jusque dans ses » violences ; ses réparties... | |
| 1857 - 498 pages
...les passions et emporté de tous les plaisirs, souvent farouche, naturellement porté à la cniauté, barbare en railleries, et à produire les ridicules...paraissaient-ils intermédiaires entre lui et le genre humain, quoiqu'on eut toujours affecté de les élever tous trois ensemble dans une parfaite égalité (Mémoires... | |
| Louis de Rouvroy de Saint-Simon - 1857 - 350 pages
...en railleries et à produire les ridicules avec une justesse qui assommait. De la hauteur des cieux il ne regardait les hommes que comme des atomes avec...paraissaientils intermédiaires entre lui et le genre humain, quoiqu'on eût toujours affecté de les élever tous trois ensemble dans une égalité parfaite. L'esprit,... | |
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