| Alexandre Rodolphe Vinet - 1857 - 624 pages
...a^vec une justesse qui assommait. De la hauteur des cieux il ne regardait les hommes que comme €es atomes avec qui il n'avait aucune ressemblance, quels qu'ils fussent. A peine MM. ses frères lui paraissaient-ils intermédiaires entre lui et le genre humain, quoiqu'on eût toujours... | |
| Édouard Goumy - 1859 - 352 pages
...qu'un de ses plus dévoués et fervents admirateurs écrivît ceci de lui : « Dela hauteur des cieux, il ne regardait les hommes que comme des atomes avec...paraissaient-ils intermédiaires entre lui et le genre humain, quoiqu'on eût toujours affecté de les élever tous trois ensemble dans une égalité parfaite. »... | |
| Édouard Goumy - 1859 - 394 pages
...qu'un de ses plus dévoués et fervents admirateurs écrivît ceci de lui : « De la hauteur des cieux, il ne regardait les hommes que comme des atomes avec...paraissaient-ils intermédiaires entre lui et le genre humain, quoiqu'on eût toujours affecté de les élever tous trois ensemble dans une égalité parfaite. »... | |
| Édouard Goumy - 1859 - 348 pages
...qu'un de ses plus dévoués et fervents admirateurs écrivît ceci de lui : « Delà hauteur des cieux, il ne regardait les hommes que comme des atomes avec qui il n'avait aucune ressemblance, quels qu'ilslussent. A peine messieurs ses frères lui paraissaient-ils intermédiaires entre lui et le genre... | |
| Édouard Goumy - 1859 - 350 pages
...ne regardait les hommes que comme des atomes avec qui il n'avait aucune ressemblance, quels qu'il s fussent. A peine messieurs ses frères lui paraissaient-ils intermédiaires entre lui et le genre humain, quoiqu'on eût toujours affecté de les élever tous trois ensemble dans une égalité parfaite. »... | |
| Charles François Thérèse Muteau - 1862 - 198 pages
...en railleries et à produire les ridicules avec une justesse qui assommoit. De la hauteur des cieux, il ne regardait les hommes que comme des atomes avec qui il n'avoit aucune ressemblance, quels qu'ils fussent Mais Dieu, qui est le maître des cœurs, et dont... | |
| Alphonse de Lamartine - 1863 - 448 pages
...barbare en raillerie, saisissant le ridicule avec une justesse qni écrasait. De la hauteur des cieux il ne regardait les hommes que comme des atomes, avec...n'avait aucune ressemblance, quels qu'ils fussent. L'esprit, la pénétration, brillaient en lui de toute part, jusque dans ses violences; ses reparties... | |
| Académie nationale de Reims (France) - 1864 - 700 pages
...qu'on se fait aujourd'hui de l'élève de Fénelon : « De la hauteur des cieux il regardait les hommes comme des atomes avec qui il n'avait aucune ressemblance, quels qu'ils fussent. A peine ses frères lui semblaient-ils des intermédiaires entre lui et le genre humain. » Je crains bien... | |
| Félix Dupanloup - 1866 - 458 pages
...raillerie, saisissant les ridicules « avec une justesse qui assommait; de la hauteur des cieux, « il ne regardait les hommes que comme des atomes avec...« qui il n'avait aucune ressemblance, quels qu'ils fus« sent. » Voilà ce qu'une première et mauvaise Éducation avait fait de cet enfant, dont l'Education... | |
| Ed Mennechet - 1868 - 412 pages
...barbare en raillerie, saisissant les ridicules avec une justesse qui assommait. De la hauteur des cieux il ne regardait les hommes que comme des atomes avec...aucune ressemblance quels qu'ils fussent. A peine les princes, ses frères, lui paraissaient intermédiaires entre lui et le genre humain. » Tel était... | |
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