| Ernest Lavisse - 1895 - 1006 pages
...emportements; livré à toutes les passions et transporté de tous les plaisirs. De la hauteur des cieux il ne regardait les hommes que comme des atomes avec qui il n'avait aucune ressemblance.... De cel abîme sortit un prince affable, doux, humain, modéré, patient, modeste, humble et austère... | |
| Ernest Lavisse - 1895 - 1018 pages
...emportements; livré à toutes les passions et transporté de tous les plaisirs. De la hauteur des cieux il ne regardait les hommes que comme des atomes avec qui il n'avait aucune ressemblance.... De cet abîme sortit un prince affable, doux, humain, modéré, patient, modeste, humble et austère... | |
| Ernest Lavisse, Alfred Rambaud - 1895 - 1006 pages
...emportements; livré à toutes les passions et transporté de lous les plaisirs. De la hauteur des cieux il ne regardait les hommes que comme des atomes avec qui il n'avait aucune ressemblance.... De cet abîme sortit un prince affable, doux, humain, modéré, patient, modeste, humble et austère... | |
| Henri Druon - 1897 - 524 pages
...en railleries, et à produire les ridicules avec une justesse qui assommait. De la hauteur des cieux il ne regardait les hommes que comme des atomes avec...paraissaient-ils intermédiaires entre lui et le genre humain, quoiqu'on eût toujours affecté de les élever tous trois ensemble dans une égalité [parfaite »... | |
| Léon Boulvé - 1897 - 388 pages
...son naturel ardent ». Il était enfin l'image fidèle du jeune Prince dont Saint-Simon disait qu'il ne « regardait les hommes que comme des atomes avec qui il n'avait aucune ressemblance », et qu'il était « incapable de souffrir la moindre résistance même des heures et des éléments... | |
| Georges Lacour-Gayet - 1898 - 498 pages
...responsabilité de son pouvoir absolu. De la hauteur des cieux, a dit Saint-Simon du jeune duc de Bourgogne, il ne regardait les hommes que comme des atomes avec...n'avait aucune ressemblance, quels qu'ils fussent. Tout roi de France aurait pu éprouver la même ivresse d'orgueil. A force d'entendre redire du haut... | |
| Félix Hémon - 1899 - 892 pages
...barbare en raillerie, saisissant les ridicules avec une justesse qui assommait; de la hauteur des cieux, il ne regardait les hommes que comme des atomes avec...aucune ressemblance, quels qu'ils fussent. A peine les princes ses frères lui paraissaient interm,}diaires entre lui et le genre humain... Le prodige,... | |
| Gustave Merlet - 1900 - 828 pages
...Saint-Simon. (Voir dans les Fablez de Fénolon le portrait du fantasque; cela est peint d'après nature.) ne regardait les hommes que comme des atomes, avec...n'avait aucune ressemblance, quels qu'ils fussent ». Il est vrai que, dans ce tempérament de salpêtre et de feu, le maitre allait trouver des secours... | |
| Frédéric Queyrat - 1901 - 192 pages
...en railleries et à produire les ridicules avec une justesse qui assommait. De la hauteur des cieux, il ne regardait les hommes que comme des atomes, avec...paraissaientils intermédiaires entre lui et le genre humain. » On conviendra que l'éducation d'un tel prince n'était guère facile. Néanmoins le duc de Beauvilliers,... | |
| Théodore Delmont - 1901 - 498 pages
...en railleries, et à produire les ridicules avec une justesse qui assommait. De la hauteur des cieux il ne regardait les hommes que comme des atomes avec...paraissaient-ils intermédiaires entre lui et le genre humain, quoiqu'on eût toujours affecté de les élever tous trois ensemble dans une égalité parfaite...... | |
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