| Moïse Cagnac - 1901 - 454 pages
...barbare en railleries, saisissant les ridicules avec une justesse qui assommait. De la hauteur des cieux, il ne regardait les hommes que comme des atomes avec...n'avait aucune ressemblance, quels qu'ils fussent... L'esprit, la pénétration brillaient en lui de toutes parts. Jusque dans ses fureurs, ses réponses... | |
| Moïse Cagnac - 1901 - 492 pages
...barbare en railleries, saisissant les ridicules avec une justesse qui assommait. De la hauteur des cieux, il ne regardait les hommes que comme des atomes avec...n'avait aucune ressemblance, quels qu'ils fussent... L'esprit, la pénétration brillaient en lui de toutes parts. Jusque dans ses fureurs, ses réponses... | |
| Léo Claretie - 1905 - 688 pages
...barbare en raillerie, saisissant les ridicules avec une justesse qui assommait; de la hauteur des cieux, il ne regardait les hommes que comme des atomes avec...n'avait aucune ressemblance, quels qu'ils fussent; à peine les princes, ses frères, lui paraissaient intermédiaires entre lui et le genre humain, quoiqu'on... | |
| Emilien Noël Laurent Cazes - 1909 - 840 pages
...en railleries et à produire les ridicules avec une justesse qui assommait. De la hauteur des cieux, il ne regardait les hommes que comme des atomes avec qui il n'avait aucune ressemblance, quels qu'il» fussent. A peine messieurs ses frères lui paraissaient-ils intermédiaires entre lui et le... | |
| Joseph Drouet - 1912 - 426 pages
...même banc que ses futurs sujets, un duc de Bourgogne qui, au dire même de l'un de ses admirateurs, « ne regardait les hommes que comme des atomes avec...paraissaient-ils intermédiaires entre lui et le genre humain, quoiqu'on eût toujours affecté de les élever tous trois ensemble dans une égalité parfaite. »... | |
| Joseph Drouet - 1912 - 422 pages
...même banc que ses futurs sujets, un duc de Bourgogne qui, au dire même de l'un de ses admirateurs, « ne regardait les hommes que comme des atomes avec...qu'ils fussent. A peine messieurs ses frères lui paraissaient- ils intermédiaires entre lui et le genre humain, quoiqu'on eût toujours affecté de... | |
| René Doumic - 1919 - 310 pages
...en railleries et à produire les ridicules avec une justesse qui assommait. De la hauteur des cieux il ne regardait les hommes que comme des atomes avec...n'avait aucune ressemblance, quels qu'ils fussent. » Le duc de Bourgogne fut-il jamais le monstre de perversité que Saint-Simon a dépeint en lui? Je... | |
| René Doumic - 1919 - 312 pages
...en railleries et à produire les ridicules avec une justesse qui assommait. De la hauteur des cieux il ne regardait les hommes que comme des atomes avec...n'avait aucune ressemblance, quels qu'ils fussent.» Le duc de Bourgogne fut-il jamais le monstre de perversité que Saint-Simon a dépeint en lui? Je ne... | |
| Félix Gaiffe - 1924 - 400 pages
...railleries et à reproduire les ridicules avec une justesse qui assommait. De la hauteur des cieux il ne regardait les hommes que comme des atomes avec...paraissaient-ils intermédiaires entre lui et le genre humain, quoiqu'on eût toujours affecté de les élever tous trois ensemble dans une égalité parfaite (1).... | |
| Leo Spitzer, Jules Brody - 1980 - 116 pages
...Enfin, livré à toutes les passions et transporté de tous les plaisirs. . . De la hauteur des cieux il ne regardait les hommes que comme des atomes avec...la pénétration brillaient en lui de toutes parts; jusque dans ses furies ses raisonnements tendaient toujours au juste et au profond, même dans ses... | |
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