| Gustave Le Vavasseur - 1843 - 488 pages
...nous? Et puis la mode en est, et la cour l'autorise, Nous parlons de nous-mémc avec toute franchise... Je sais ce que je vaux et crois ce qu'on m'en dit. Mais Corneille composa, vers la fin de sa vie, des stances à une marquise , qu'il serait plus difficile... | |
| Pierre Corneille - 1843 - 794 pages
...l'autorise. Sous parlons de nous-mêmes avec toute franchise; La fausse humilité ne met plus en crédit. ` ' Voici cette épltre de Corneille qu'on prélend qui lui attira hrii <1 Vnnemis * ; mais il est très-vraisemblable... | |
| Charles-Augustin Sainte-Beuve - 1845 - 322 pages
...française , du dix-huitième siècle. On se souvient des magnifiques vers de VÊpître à triste , dans lesquels Corneille se 'glorifie lui-même après...entièrement dans le » style de Régnier , sans grâce, sans fines» se , sans élégance , sans imagination ; » mais on y voit de la facilité et de la naï»... | |
| Marie Pauline Rose Blaze de Bury (baronne.) - 1845 - 490 pages
...the subject of the Thebaide, at the same time lending him a hundred louis d'or as an encouragement. " Je sais ce que je vaux, et crois ce qu'on m'en dit, Pour me faire admirer je ne fais point de ligne; J'ai peu de voix pour moi, mais je les ai sans brigne... | |
| Charles-Augustin Sainte-Beuve - 1852 - 510 pages
...siècle. On se souvient des magnifiques vers de YEpUre àAriste, dans lesquels Corneille se gloriûe lui-même après le triomphe du Cid : Je sais ce que...qu'on m'en dit. Voltaire a osé dire de cette belle épltre : « Elle parait écrite « entièrement dans le style de Regnier, sans grâce, sans * finesse,... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1852 - 518 pages
...s'écrier, sans peur de démenti, aux applaudissements de ses admi rateurs et au désespoir de ses envieux Je sais ce que je vaux, et crois ce qu'on m'en dit. Pour me ian-i; admirer je ne fais point de ligue ; J'ai peu de voix pour moi, mais je les ai sans brigue;... | |
| François Guizot - 1852 - 508 pages
...un homme supérieur, il l'avait dit comme il le savait, sans imaginer que personne en pût douter : Je sais ce que je vaux, et crois ce qu'on m'en dit ; dit-il lui-même dans l'Excuse à Ariste, et parlant de son génie : Quittant souvent la terre en... | |
| 1854 - 670 pages
...l'autorise. Nous parlons de nous-mème avec toute Franchise. La fausse humilité ne met plus en crédit. Je sais ce que je vaux et crois ce qu'on m'en dit. Pour me faire admirer je ne fais point de ligue. J'ai peu de voix pour moi, mais je les ai sans brigue;... | |
| Charles-Augustin Sainte-Beuve - 1855 - 514 pages
...écourtée, et à la française, du xvme siècle. On se souvient des magnifiques vers de YEpitre àAriste, dans lesquels Corneille se glorifie lui-même après...Voltaire a osé dire de cette belle épître : « Elle parait écrite i. entièrement dans le style de Regnier, sans grâce, sans « finesse, sans élégance,... | |
| Charles Augustin Henry - 1856 - 1008 pages
...écoitrice , et à la française, du xvm» siècle. On se souvient des magnifiques vers de i'EpUre à Ariste, dans lesquels Corneille se glorifie lui-même...après le triomphe du Cid : Je sais ce que je vaux , ei crois ce qu'on m'en dit. Voliaire a osé dire de cette belle épiire : « Elle paraît écrite... | |
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