... sept cent cinquante livres de rente , j'avais lieu d'espérer qu'en abandonnant le commerce et le talent de mon père, je ne perdrais rien au change, si je pouvais un jour être admis dans la troupe des comédiens du roi . « Ah , mon ami ! s'écria... Mémoires de Henri Louis Lekain - Page 5de Henri Louis Cain Lekain - 1801 - 420 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
 | Voltaire - 1789 - 600 pages
...jouiffant d'un petit patrimoine d'environ fept cents cinquante livres de rente, j'avais lieu d'efpérer qu'en abandonnant le commerce et le talent de mon père, je ne perdrais rien au change fi je pouvais- un jour être admis dans la troupe des comédiens du roi. difficile des talens ; mais... | |
 | Voltaire - 1789 - 534 pages
...jouiflant d'un petit patrimoine d'environ fept cents cinquante livres de rente , j'avais lieu d'efpércr qu'en abandonnant le commerce et le talent de mon père , je ne perdrais rien au chr.nge fi je pouvais un jour être admis dans la troupe des comédiens du roi. »» Ah! mon ami, s'écria... | |
 | Voltaire - 1789 - 358 pages
...jouiflant d'un petit patrimoine d'environ fept cents cinquante livres de rente , j'avais lieu d'efpérer qu'en abandonnant le commerce et le talent de mon père , je ne perdrais rien au change fi je pouvais un jour être admis dans la troupe des comédiens du roi. *> Ah ! mon ami , s'écria... | |
 | Henri-Louis Le Kain, Henri Louis Cain Lekain - 1801 - 454 pages
...après midi ; et lorsqu'il voulait se purger , il sô composait des remèdes à l'aide d'une pharmaci» ambulante,, qui le suivait toujours. Il n'ya que le...n'en » faites jamais votre état. C'est le plus beau , » le plus rare et le plus difficile des talens ; » mais il est avili par des barbares , et proscrit... | |
 | Pierre David Lemazurier - 1810 - 598 pages
...change, sijepou» vais être un jour admis dans la troupe des » comédiens du roi. « Ah ! rrïon ami , s'écria M. de Voltaire , ne » prenez jamais...faites » jamais, votre état. C'est le plus beau , le plus » rare et le plus difficile des talents ; mais il est » avili par des barbares , et proscrit... | |
 | 1810 - 416 pages
...de pouvoir èlrff admis dans l'illustre compagnie de» comédiens du roi. « Ah ! mon ami , s'écria Voltaire, ne prenez jamais ce parti-là. Croyez-moi...n'en faites jamais votre état. C'est le plus beau , le plus rare et le plus difficile des talens ; mais il est avili par des barbares , et proscrit par... | |
 | 1810 - 506 pages
...de pouvoir être? admis dans l'illustre compagnie des comédiens du TOÎ. » Ah! mon ami, s'écria Voltaire, ne prenez jamais ce parti-là. Croyez-moi , jouez la comédie pour votre plaisir, mais n'eu faites jamais votre état. C'est le plus beau , le plus rare et le plus difficile des talens;... | |
 | Voltaire - 1817 - 456 pages
...le maître de mes actions , et jouissant d'un petit patrimoine d'environ sept cent cinquante livres de rente , j'avais lieu d'espérer qu'en abandonnant...perdrais rien au change, si je pouvais un jour être a'imis dans la troupe des comédiens du roi. . « Ah! mon ami, s'écria M. de Voltaire, ne prenez jamais... | |
 | Voltaire - 1820 - 546 pages
...d'environ sept cent cinquante livres de rente , j'avais lieu d'espérer qu'en abandonnant le commerce etle talent de mon père, je ne perdrais rien au change...admis dans la troupe des comédiens du roi. « Ah l mon ami , s'écria M. de Voltaire , ne prenez jamais ce parti-là ; croyez-moi , jouez la comédie... | |
 | Voltaire - 1820 - 652 pages
...père , je ne perdrais rien au change M je pouvai> un jour être admis dans la troupe des coint-diens du roi. • Ah ! mon ami , s'écria M. de Voltaire...jamais ce parti-là; croyez-moi, jouez la comédie pour «ocre plaisir, mais n'en faite» jamais votre état. C'est l«r plus beau, le plus rare, le plus difficile... | |
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